La ferme

La traite des brebis

Au cœur des forêts du parc naturel régional des Baronnies provençales, se cache un tout petit village ! Il existe depuis très longtemps, bien qu’un peu oublié: son nom signifie « la ferme dans le bois », aujourd’hui « Villa bosco » se nomme Villebois les Pins.

Si vous prenez la route qui mène au col du Reychasset, vous trouverez une petite bergerie en bois, à la sortie du village : vous êtes arrivés chez Pays’âmes!
La bergerie abrite une cinquantaine de brebis de la race Thônes et Marthod et quelques chèvres.

Vous y trouverez un élevage laitier pour la production de fromages de chèvres et de brebis mais aussi de laine et de viande, complété par quelques volailles, des lapins, des abeilles, des cochons mais aussi des cultures potagères, un peu d’osiériculture, un peu de céréales, quelques lentilles et pois chiches, des plantes médicinales, à parfum et tinctoriales aussi, quelques arbres fruitiers et petits fruits le plus variés possible…

Ces quelques terres et bâtis sont le cœur de la ferme qui cherche un équilibre entre cultures vivrières et couverture des besoins pécuniers.

Au cœur des forêts du parc naturel régional des Baronnies provençales, se cache un tout petit village ! Il existe depuis très longtemps, bien qu’un peu oublié: son nom signifie « la ferme dans le bois », aujourd’hui « Villa bosco » se nomme Villebois les Pins.

Si vous prenez la route qui mène au col du Reychasset, vous trouverez une petite bergerie en bois, à la sortie du village : vous êtes arrivés chez Pays’âmes!
La bergerie abrite une cinquantaine de brebis de la race Thônes et Marthod et quelques chèvres.

Vous y trouverez un élevage laitier pour la production de fromages de chèvres et de brebis mais aussi de laine et de viande, complété par quelques volailles, des lapins, des abeilles, des cochons mais aussi des cultures potagères, un peu d’osiériculture, un peu de céréales, quelques lentilles et pois chiches, des plantes médicinales, à parfum et tinctoriales aussi, quelques arbres fruitiers et petits fruits le plus variés possible…

Ces quelques terres et bâtis sont le cœur de la ferme qui cherche un équilibre entre cultures vivrières et couverture des besoins pécuniers.

Les racines de Pays'Âmes

Un rêve d’enfant: vivre les pieds et les mains dans la terre et la tête dans les étoiles: « être paysan »!

Aujourd’hui encore plus qu’il y a vingt ans, apprendre à se nourrir et à nourrir ceux qui vivent autour de nous est une évidence mais cela va au delà. Il s’agit de vivre, de vivre ici et d’ici, ensemble, de ce que la terre nous offre et elle offre tellement à qui sait la cueillir…

Savons-nous encore le faire?
La ferme existe pour réapprendre, redécouvrir, créer de nouvelles façons d’être paysan en s’appuyant sur ce qui se faisait, il y a longtemps, bien avant la mondialisation!
S’appuyer sur le passé pour bien vivre le présent et préparer un avenir heureux!

Les racines de Pays'Âmes

Un rêve d’enfant: vivre les pieds et les mains dans la terre et la tête dans les étoiles: « être paysan »!

Aujourd’hui encore plus qu’il y a vingt ans, apprendre à se nourrir et à nourrir ceux qui vivent autour de nous est une évidence mais cela va au delà. Il s’agit de vivre, de vivre ici et d’ici, ensemble, de ce que la terre nous offre et elle offre tellement à qui sait la cueillir…

Savons-nous encore le faire?
La ferme existe pour réapprendre, redécouvrir, créer de nouvelles façons d’être paysan en s’appuyant sur ce qui se faisait, il y a longtemps, bien avant la mondialisation!
S’appuyer sur le passé pour bien vivre le présent et préparer un avenir heureux!

CE QUE LA TERRE NOUS OFFRE

L'élevage laitier

« Deux chèvres et puis quelques moutons … » : ici c’est plutôt 15 chèvres et quelques 50 moutons… de race Thônes et Marthod, capable de produire un bon lait, bien crémeux mais aussi une belle viande et de la laine !
Les brebis sont traites une fois par jour et leur lait est transformé tout de suite en une dizaine de variétés de fromages. Dès le mois de mai, elles sortent au pâturage et rentrent le soir pour éviter d’être croquées par Monsieur Loup. Pour avoir du lait, il faut des naissances ! Les petits voient le jour courant février et sont sevrés autour du 15 avril pour permettre la production des fromages et donc le revenu principal de la ferme.

Les fromages

Les laits sont utilisés pour fabriquer des fromages de chèvre et des fromages de brebis, en frais comme en affinés, en pâtes pressées et autres préparations spécifiques et souvent personnelles. Ils sont affinés dans les caves de la fromagerie et commercialisés sur place et aux alentours ; ils peuvent être livrés sur commande à proximité de la ferme.

Les fromages

Les laits sont utilisés pour fabriquer des fromages de chèvre et des fromages de brebis, en frais comme en affinés, en pâtes pressées et autres préparations spécifiques et souvent personnelles. Ils sont affinés dans les caves de la fromagerie et commercialisés sur place et aux alentours ; ils peuvent être livrés sur commande à proximité de la ferme.

La laine

Les brebis Thônes et Marthod produisent non pas une laine, mais des laines de qualité différentes et donc d’usages différents ! Elle est reconnue pour la fabrication du feutre mais fait aussi très bien pour faire du fil ou des matelas…
Elle est triée à la tonte qui a lieu deux fois par an : en janvier avant les naissances et en juillet, lavée pendant l’été à l’eau de pluie puis stockée au sec en attendant d’être transformée. 
Ce qui n’est pas utilisable en production textile, est utilisé en paillage sur les arbres et arbustes ou dans les buttes maraîchères.

Les volailles et lapins

Quelques poules pour les oeufs, un ou deux canards et 3 couples de lapins pour une diversification de la viande ; pour aussi faire manger les restes du jardin et des repas et puis pour le plaisir d’entendre le coq au petit matin sonner le clairon !
Les peaux des lapins sont tannées pour être ensuite utilisées pour nous tenir chaud.

Les volailles et lapins

Quelques poules pour les oeufs, un ou deux canards et 3 couples de lapins pour une diversification de la viande ; pour aussi faire manger les restes du jardin et des repas et puis pour le plaisir d’entendre le coq au petit matin sonner le clairon !
Les peaux des lapins sont tannées pour être ensuite utilisées pour nous tenir chaud.

Les abeilles

Une dizaine de colonies nous fournissent un peu de miel et de la cire mais surtout viennent polliniser nos arbres et nos plantes potagères qui sans elles ne produiraient guère! C’est aussi le seul sucre dont disposaient nos ancêtres et que nous sommes à même de produire ici !

Les cochons

Les cochons laineux ou mangalitza servent à consommer ce qui serait autrement jeté et font l’animation à eux tous seuls !
Ils nous offrent une viande de choix lorsqu’il est temps de les manger.

Les cochons

Les cochons laineux ou mangalitza servent à consommer ce qui serait autrement jeté et font l’animation à eux tous seuls !
Ils nous offrent une viande de choix lorsqu’il est temps de les manger.

Les cultures potagères

Voilà bien des plantes compagnes : il y a 3 jardins, avec des climats différents, des proximités variables avec la maison…Il y pousse de quoi nous nourrir, nous, nos animaux, notre terre et il est bon d’aller y plonger ses racines quand le mental s’envole…

L'osier

Dans les bois et les prés sauvages poussent plein de plantes que l’on peut tresser; l’osier a été cultivé car il est plus simple d’en faire de beaux paniers!
Nous avons besoin de récipients légers et de formes variées pour nos usages quotidiens alors quelques brins viennent chaque année nous fournir la matière première pour remplacer le plastique !

L'osier

Dans les bois et les prés sauvages poussent plein de plantes que l’on peut tresser; l’osier a été cultivé car il est plus simple d’en faire de beaux paniers!
Nous avons besoin de récipients légers et de formes variées pour nos usages quotidiens alors quelques brins viennent chaque année nous fournir la matière première pour remplacer le plastique !

Les céréales et légumineuses

Sans machine moderne et à pétrole, voilà une expérience intéressante que de chercher à produire ce qui se trouve être la base de notre alimentation ! Ce sont des cultures plutôt expérimentales, permettant de renouer avec les savoirs anciens…

Les plantes médicinales

Chacun a dans son jardin une sauge ou une lavande sans forcément savoir à quoi elles peuvent bien servir si ce n’est être belle et sentir bon ! 
Les plantes médicinales sont cultivées ou ramassées dans les montagnes pour nous soigner nous et/ou nos animaux (voir d’autres plantes) : formée en phytothérapie et en galénique, je les transforme pour rester en forme !

Les plantes médicinales

Chacun a dans son jardin une sauge ou une lavande sans forcément savoir à quoi elles peuvent bien servir si ce n’est être belle et sentir bon ! 
Les plantes médicinales sont cultivées ou ramassées dans les montagnes pour nous soigner nous et/ou nos animaux (voir d’autres plantes) : formée en phytothérapie et en galénique, je les transforme pour rester en forme !

Les plantes à parfum et tinctoriales

La vie est magnifique et il est naturel de vouloir reproduire certaines beautés : les odeurs et les couleurs font vibrer nos sens, ravivent nos mémoires et mettre notre vie en relief. Depuis la nuit des temps l’humain a cherché à les faire perdurer au-delà de l’instant et on les retrouve partout. Les plantes nous ont permis de les apprivoiser, de nous les approprier en quelque sorte…Sur la ferme, on les retrouve pour teindre la laine, parfumer la maison, les habits ou encore la peau.

Les fruitiers - petits et grands

La cueillette sauvage des fruits a duré longtemps avant que l’on cherche à cultiver les plantes et les arbres qui nous les offrent. Les variétés sont multiples, sélectionnées dans chaque région pour offrir des récoltes abondantes là où ils poussent. Ici aussi l’histoire nous offre un patrimoine gustatif « de pays » et la ferme cherche à cultiver des variétés anciennes mais aussi des nouvelles en vue de continuer l’abondance malgré le changement climatique qui nous désoriente.

Les fruitiers - petits et grands

La cueillette sauvage des fruits a duré longtemps avant que l’on cherche à cultiver les plantes et les arbres qui nous les offrent. Les variétés sont multiples, sélectionnées dans chaque région pour offrir des récoltes abondantes là où ils poussent. Ici aussi l’histoire nous offre un patrimoine gustatif « de pays » et la ferme cherche à cultiver des variétés anciennes mais aussi des nouvelles en vue de continuer l’abondance malgré le changement climatique qui nous désoriente.